Consultant SIRH HCM : « Répondre à des problématiques uniques »

Dans cette série de portraits, nous découvrons les différentes fonctions occupées chez Newext RH, grâce aux témoignages de nos collaborateurs. Ils ont accepté de se prêter au jeu de l’interview et de nous dévoiler une partie de leur quotidien professionnel. Merci à eux et bonne lecture !

Jonathan VIALA, Consultant SIRH

L’attrait pour le métier de consultant : la diversité des expériences

“J’ai commencé dans le domaine du SIRH dès mon entrée dans le monde du travail, lors d’un stage chez Carrefour qui à l’époque déployait un nouveau système informatique RH avec le logiciel ADP. C’est à cette occasion que j’ai découvert le métier de consultant, puisque Carrefour était accompagné dans son projet par un cabinet de conseil. Je suis resté en interne jusqu’à la phase de run, puis, à la fin du projet, je me suis tourné vers le métier de consultant qui m’attirait tout particulièrement de par la diversité des projets.

Et effectivement, j’adore lapluralité de mes missions. La première différence se fait en fonction de la nature du client. Chez certains clients, on est en mode projet, délimité dans le temps, avec une problématique particulière. Chez d’autres c’est différent, on déploie un outil sur lequel on forme les équipes, l’aspect accompagnement est moins présent pour laisser place au côté technique. Ensuite, selon le secteur des clients – hospitalier, consulting, restauration, etc. – on voit plein d’organisations qui ne fonctionnent vraiment pas pareil, même avec l’utilisation d’un même logiciel.”

Consultant SIRH : l’art de s’adapter à son client

“Les problématiques de chaque client sont uniques. Si on prend l’exemple côté HCM (Human Capital Management), c’est-à-dire la gestion de talents, les fonctionnalités souhaitées sont multiples : gestion du recrutement, plateforme de préparation d’arrivée des collaborateurs, gestion de la formation plus ou moins automatisée selon les compétences, gestion de la mobilité interne, suivi des entretiens obligatoires et/ou optionnels, pour tout le monde ou pas. Chacun veut des fonctionnalités différentes, potentiellement recherche un seul outil, ou une hyper personnalisation de paramétrage que l’on ne retrouve pas chez tous les éditeurs.”

Consultant : une présence sur toute la chaîne de valeur des projets SIRH

“Dans le métier de consultant SIRH, notre rôle est assez large, on intervient à différents stades, que ce soit très en amont ou encore en aval du déploiement en tant que tel. J’accompagne parfois mes clients dans la définition du besoin et la rédaction d’un cahier des charges. Ensuite, il faut les conseiller dans le choix de l’éditeur à qui faire appel et animer ou contrôler la phase d’ateliers de réflexion qui prépare aux paramétrages. 

L’étape la plus importante est la phase de tests, qu’on appelle la phase de recette, qui est souvent sous-estimée et qui peut faire perdre beaucoup de temps et d’argent si elle n’est pas bien réalisée. Je peux intervenir aussi pour former les équipes, et éventuellement en phase de run, pour faire vivre et optimiser l’outil lors des premiers mois.”

Le challenge du consultant SIRH : garder une totale neutralité

“Le plus gros challenge à mon sens c’est la posture à adopter en tant qu’intervenant extérieur. Le client attend un conseil de qualité, il faut donc se montrer professionnel et montrer une certaine prestance, tout en se faisant accepter et en s’adaptant à la situation. Parfois, ça se passe très bien, mais d’autres fois c’est délicat car on arrive dans une équipe qui est en train de se déliter, et on doit être force de proposition sans rien imposer, tout en restant neutre, sans faire intervenir les émotions vis-à-vis de situations parfois compliquées.”

Le bonus : pourquoi rejoindre les équipes Newext RH ?

“L’accessibilité d’Hamid, le dirigeant, fait beaucoup à l’ambiance générale chez Newext RH. Lors de mon entretien d’embauche, on a discuté pendant un moment ! J’ai senti déjà à ce moment-là une grande écoute. On est encouragé à tenter de nouvelles choses, on se parle donc les choses vont vite, on est plutôt en mode start-up, pas trop procédurier, c’est agréable.”